Anarkhe: Bonjour à toute l'équipe du Tofu Cramé, je me présente devant vous aujourd'hui afin d'...
Traurigkeit: J'm'appelle Anarkhe et je sens le pet!*Attaque au corps à corps*Traurigkeit: Argh...Anarkhe, grommelant: Grmbl...crétin de Panda! C'est du sérieux là!Anarkhe, plus fort: Donc je me présente devant vous afin d'intégrer votre équipe. Mais je vais commencer par nous présenter, moi et mes deux acolytes.
*jette un regard kitu au Panda agonisant et au Feca dormant appuyé contre un mur*Alors, l'animal de compagnie là, oui oui celui-là, est un Panda que j'ai pris sous mon aile il y a peu, il se nomme Traurigkeit, tristesse dans sa langue natale. Malgré son air balourd il est assez agile et sait, parfois, se montrer fin en humour; sa principale qualité réside en sa belle écriture, comparée à la mienne, qui l'amène souvent à recopier mes notes éparses, à les archiver, et à écrire mes messages, il passe également pas mal de son temps en aller-retours entre la taverne, mon lieu de travail, et la bibliothèque (il connait assez bien une documentaliste), ce qui fait de lui une aide sérieuse et agréable. (/hrp:
http://roultard.free.fr/forum/viewtopic.php?f=16&t=234 pour plus d'infos)
Mon second compagnon, le feca là-bas, m'a été envoyé par un vieil ami qui ne pouvait plus assurer son entraînement. Son nom est Zororona, et j'ai bien l'intention de faire de lui un maître de la maîtrise de l'Air, puisqu'il a choisi cette voie ardue, l'intelligence lui faisant défaut. Comparé à notre ami Traurig, on pourrait se demander pourquoi je le garde à mes côtés: naturellement fainéant, il passe le plus clair de son temps à dormir ou à conter fleurette à des demoiselles peu recommandables, je réussis juste à le motiver, un peu, quand il s'agit d'aller nous couper du bois de chauffe. Néanmoins, il a une qualité: sa connaissance des bas-fonds amaknéens qui nous a déjà sortis de plus d'un mauvais pas, et lui permet de nous ramener de temps en temps un peu d'argent (je ne veux pas savoir à quels trafics il se livre pour l'obtenir). Dans le cadre d'un emploi pour le Tofu Enflammé, il pourra probablement, pour peu qu'on y mette un peu d'autorité, comme larbin. Il se fera un plaisir d'aller faire des reportages dans des régions riches en femmes plantureuses, et, dans une moindre mesure, il n'aura pas de mal à se tenir au courant des dernières grandes affaires criminelles.
J'en viens à moi, Anarkhe, éternel baroudeur, adepte du culte de Kina (dont je vous parlerai peut être un jour plus en détails). Ma vie ces dernières années se résume à des déceptions, amoureuses et financières. Vous me cherchiez? j'étais dans une taverne. Je tente quand même depuis peu de me reprendre: j'ai pris deux apprentis sous ma protection, m'obligeant à plus vivre au grand air, et à parcourir Amakna en leur compagnie, et je me suis remis au travail, sous l'impulsion de Traurig, l'air de la campagne et l'odeur des fleurs de lin et de chanvre me font le plus grand bien, je descends de temps en temps travailler dans des mines sombres et humides, et je travaille les minerais extraits et de nombreuses ressources, reliques de ma jeunesse de pirate, pour en faire des bijoux. Au final, le peu de temps que je passe encore à la taverne passe en travail: d'écriture, ou de réécriture, de mon journal, ou de documentation sur d'anciennes compagnies de mercenaires ayant parcouru les plaines de Cania. J'espère que cette renaissance de ma personne finira par attirer l'attention de celle que j'aime, depuis bien longtemps maintenant... (/hrp:
http://roultard.free.fr/forum/viewtopic.php?f=16&t=538 pour plus d'infos)
Voilà, la présentation est finie (
), notre trio se fera un plaisir de faire des interviews, ou de commettre des reportages. J'ai également sous le bras une ou deux idées pour votre journal.
Bon, on va devoir y aller nous! À bientôt j'espère.
*relève Traurigkeit, le réveille gentiment*Traurigkeit: Vous avez fini maître?
Anarkhe: Oui. Réveille Zoro, on y va.
Se retournant: Allez, à la prochaine Mymy, Med' et compagnie. Merci de m'avoir écouté.
Traurigkeit: Maître, Zoro s'est fait la malle...
Anarkhe, haussant les épaules: Il reviendra. Allons-y.
